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 Les crétins des bacs à sable. [Patou]

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Albus J. Sleeman
« Albus J. Sleeman »
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Les crétins des bacs à sable. [Patou] _
MessageSujet: Les crétins des bacs à sable. [Patou]   Les crétins des bacs à sable. [Patou] 161111Dim 20 Sep - 21:21

    Le soleil montrait timidement le bout de son nez, caché derrière les nuages gris. Les rayons, passant par la fenêtre, éclairaient le bureau où une lampe leur faisait concurrence, illuminant un ordinateur portable ouvert et allumé, mais également un livre ouvert, retourné. C’était dans ce lieu que je travaillais, depuis maintenant deux heures. Et heureusement que ce que je faisais me plaisait, sinon j’aurais pu en mourir. Mais l’histoire était mon dada personnel, alors je pouvais aisément passer une journée entière à potasser les civilisations pré-sumériennes pour mon propre plaisir, ma culture personnelle, quoi. Là, en l’occurrence, je bouclais un devoir sur les rites et rituels dédiés aux dieux. Alors ça passait par à peu près tout. Les offrandes, les prières, les sacrifices humains ou animaux ... J’allais rendre dix pages et j’allais encore récolter un vingt, comme d’habitude, en effet. J’attrapais le livre pour parcourir quelques lignes, qui rejoignirent le document textuel ouvert sur mon mac pro, et j’enregistrais, histoire de ne pas bêtement perdre le tout. Ne riez pas devant tant de prudences, ça m’est déjà arrivé, et c’est rageant de voir vingt pages s’envoler comme la fumée dans le chapeau du magicien. Me frottant les yeux, je décidais d’arrêter là, et je fermais le tout, éteignant mon ordinateur portable et coupant la musique qui passait à bas volume pour faciliter ma concentration. Sortant du bureau, je fis un crochet par la chambre de ma sœur qui jouait de la guitare avec un casque, et qui donc ne pouvait m’entendre. Je tapotais son épaule, la faisant sursauter. C’est qu’elle est stressée, celle-là !

    « Ouais ? »
    « Je sors. T’as besoin de quelque chose, tant que j’y suis ? »
    « Non, ça va. A toute ! »
    « Ouais. N’oublie pas de nourrir le monstre. »


    Le monstre en question, un chat noir et blanc tout ce qu’il y a de plus banal, choisit ce moment pour entrer dans la chambre d’Amy et se rouler en boule dans la housse de sa guitare, sans que nous ne le changions de place. Avec un sourire, je sortis de la chambre, faisant un crochet dans la cuisine pour mettre de la pâtée dans la gamelle du chat, sachant qu’Amy n’y penserait pas. Je pris ensuite un blouson et mon sac à main, me maquillant avec rapidité et efficacité – ça, c’est l’habitude – puis je sortis, refermant la porte dans un tintement de clés, mettant mon portable continuellement sur vibreur dans ma poche, pour le sentir s’il décidait de se manifester. Je descendis les escaliers, pas assez feignante pour prendre l’ascenseur, puis je sortis de l’immeuble, me pelotonnant dans ma veste pour combattre le froid. Non pas qu’il fasse peu chaud, mais j’étais assez frileuse, comme demoiselle. Me mettant en route, je me dirigeais vers le parc d’un pas souple et gracieux, faisant se retourner les hommes qui me regardaient passer avec un soupçon ... De quelque chose d’assez lubrique. Les ignorant comme à mon habitude, je me rendis dans le parc pour m’asseoir sur un banc de bois, sortant un livre pour le continuer au grand air. Le bruit environnant ne me dérangeait pas le moins du monde, heureusement pour moi. Le papotage des mères, les cris des enfants, le gazouillement des oiseaux était très naturel. Le moins naturel était ces hommes qui s’obstinaient à venir draguer les demoiselles solitaires. Si je suis solitaire, ce n’est pas pour rien, non ? L’un deux, justement, venait vers moi. Oh, génial. Je ne daignais pas relever le regard, restant concentrée dans mon livre tout en regardant subrepticement autour de moi pour trouver une échappatoire. Qui vint. Bonheur sur nous, pauvres canidés. Là-bas, une petite fille rousse, vraiment très mignonne, se faisait chahuter par des garçons ayant le double de son âge. Pauvre gamine. Refermant mon livre d’un coup sec, je le rangeais en me relevant, et je me dirigeais vers le groupe, dégageant mon habituelle aura métallique qui en effraie plus d’un.

    « Très courageux de se mettre à plusieurs pour agresser une petite fille ayant quatre ans de moins que vous. Dégagez rapidement avant que je ne joue le rôle de la grande sœur qui colle des baffes pour apprendre la politesse. »

    Pas contrariants, les garçons décidèrent de s’en aller en courant, ne voulant pas vraiment se prendre une baffe qu’ils devraient par la suite expliquer à leurs parents. Et en recevoir une autre pour leur apprendre ce que galanterie voulait dire. Je me penchais pour aider la petite à se relever, ramassant son ruban rouge pour le lui donner. Allez, petite louve, fais preuve de sociabilité maintenant. Mot fort compliqué, oui, mais quand même.

    « Ca va, ils ne t’ont pas fait mal ? C’est bête un garçon à cet âge, heureusement qu’il existe les filles pour remonter le niveau intellectuel. »

    Euh ... Ce n’était pas trop compliqué pour une petite fille de quatre ans ? Pourtant, quelque chose, mon instinct, me disait qu’elle était une petite fille éveillée et surdouée, quoique différente et sauvage. Charmée par sa jolie bouille et ses cheveux roux, je lui fis un sourire chaleureux.

    « Je m’appelle Lyra. Et toi ? »
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Les crétins des bacs à sable. [Patou] _
MessageSujet: Re: Les crétins des bacs à sable. [Patou]   Les crétins des bacs à sable. [Patou] 161111Mar 22 Sep - 20:27

    Ce n’était pas le soleil qui brûlerait la peau d’Alice aujourd’hui. Caché derrière de lourds nuages, il peinait à faire parvenir à la Terre quelques faibles rayons. Appuyée à la fenêtre, un livre à la main, une fillette rousse regardait le ciel chargé de lourdes menaces. Ses grands yeux de poupées se reflétaient dans la vitre, sa chevelure tombait en cascade sur ses épaules. Un ruban rouge dépassait de la poche de son jean et son tee-shirt blanc portait un trou en bas, vers la couture et était légèrement froissé. Mis à part ça il était propre. Elle cligna des yeux. Cela faisait une bonne heure qu’elle était installée là à ne rien faire. Son pouce, coincé entre deux pages du livre était endolori. Détachant son regard des nuages, elle se retourna. Elle attrapa le galon écarlate qui dépassait de sa poche et le glissa dans son recueil pour marquer le passage où elle s’était arrêtée.
    Elle sortit de sa chambre, l’ouvrage dans sa main droite. Elle ramassa des chaussures rouges, sa couleur préférée, et vernies qui traînait dans l’entrée. Elle les enfila d’un geste agile et défroissa son tee-shirt du plat de la main, chose inutile. Elle ébouriffa ses cheveux et sortit un stylo et un papier blanc d’un tiroir. D’une écriture calligraphique, elle inscrivit quelques mots pour Shayn : « Je suis partie me balader. Alice. »
    Elle savait que la jeune femme avait confiance en elle et qu’elle ne verrait aucune inquiétude à se faire dans l’absence de la petite mais mieux valait prévenir. Elle ne voulait pas lui causer de soucis, déjà qu’elle n’était pas obligée de s’occuper d’elle…

    Elle sortit et referma la porte à clef qu’elle posa sous le pot de fleurs devant l’entrée. Elle dévala les marches quatre à quatre. Alice détestait l’ascenseur. C’était un lieu très étroit avec un grand miroir un peu abîmé par l’usure. Elle n’aimait pas le bruit qu’il faisait en descendant, ni la sensation de tomber quand il s’arrêtait. Et surtout, il y avait souvent du monde à l’intérieur, serrés les un contre les autres. Et la plupart du temps, ils ne faisaient pas attention à elle et l’écrasait.
    Dans le hall, elle ne croisa pas un chat, tant mieux. Elle n’avait pas envie de se coltiner les habituels « Ne sors pas seule petite, tu vas te perdre. » ou alors « Que fais-tu là ? Remonte bien vite ! Tu ne dis rien ? Tu es perdue ? Viens je te raccompagne. »
    Elle n’était pas idiote mais ces gens l’ignoraient, il la traitait comme une gamine. Ce qu’elle était d’ailleurs.
    Elle se dirigea vers le parc. C’était un lieu plus ou moins tranquille et il n’était pas très loin. Elle traversa la grande rue qui passait devant l’immeuble et longea le conservatoire, un beau bâtiment de pierres sombres, taillées et sculptées. Elle tourna à droite, elle voyait déjà les arbres du square.
    Elle passa le petit portail de fer forgé qui délimitait l’entrée, son livre toujours serré dans sa main. Elle ne portait pas de veste et ses bras nus frissonnèrent à cause de la légère brise. Ses cheveux virevoltaient sur son visage et devant ses yeux. Elle se dirigea vers le centre du parc, près du petit kiosque à bonbons. Non loin de là, on entendait la petite mélodie du marchand de glace, celle qui avait bercé l’enfance de certains. Enfin, pas la sienne en tout cas.
    Elle s’assit sur un banc en bois, les jambes battant dans le vide. Elle prit son livre et l’ouvrit à la page où elle s’était arrêtée. « Les Fleurs du Mal, de Charles Baudelaire » indiquait le titre. C’était son recueil de poèmes favori. Il était noir, la reliure aussi et le lettrage était fait en fines lettres d’or. C’était un beau livre. Elle entama sa lecture, les mots chantaient dans sa tête, c’était aussi beau qu’une chanson.
    Elle ne vit pas arriver le groupe de quatre garçons, plutôt grassouillets, qui se dirigeait vers elle. Sans doute la vue d’une fillette de quatre ans seule avait-il éveillé leurs sens de la brutalité… Un premier lui prit son livre et tenta de lire le titre d’une lecture hésitante d’élève sachant à peine son alphabet.

    « - Les fl…fleu…reuuh… du... maa..leuh. Cha..Chaa..R.
    - Charles Baudelaire, ignorant.
    - Comment une sale gamine comme toi peut comprendre un truc pareil. De toute façon c’est nul.
    - Triste démonstration d’un parfait abruti. »


    Visiblement, ils n’apprécièrent pas l’insulte car un deuxième lui asséna un coup sur la tête. Alice ne broncha pas ce qui les énerva encore un peu plus. Elle eût le droit à plusieurs coups de pied et de poing diverses avant que quelqu’un n’intervienne. La jeune femme les fit fuir en quelques paroles menaçantes. Alice se releva péniblement. Son tee-shirt blanc était à présent gris et portait un trou en plus. Ses chaussures étaient pleines de terre. Elle épousseta rapidement et du mieux qu’elle put ses affaires. L’inconnue lui parlait. Elle n’y prêta qu’une faible attention et capta les mots « bête, garçon, intellectuel. ».

    « Oh non ! Ils m’ont volé mon livre ! »

    S’exclama-t-elle quand la jeune femme lui rendit son ruban rouge avec lequel elle accrocha ses cheveux. La demoiselle se présenta, Lyra. Alice la dévisagea sans dire un mot.
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Albus J. Sleeman
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Les crétins des bacs à sable. [Patou] _
MessageSujet: Re: Les crétins des bacs à sable. [Patou]   Les crétins des bacs à sable. [Patou] 161111Sam 26 Sep - 21:31

    La petite se releva avec peine, époussetant ses habits couverts de sable d’une main rapide. En fait, elle n’écoutait pas ce que je lui disais, chose tout à fait compréhensible vu l’attaque qu’elle venait de subir. Les garçons sont débiles. Je tournais à l’homosexualité ou quoi ? Ce n’est pas le mieux pour assurer la pérennité de notre espèce, car ce n’est pas avec une femme que je pourrais engendrer le futur chef de meute originel. Avant, j’aurais pensé qu’on ne peut faire ça qu’avec un loup, ce qui limitait mon choix à Logan, ce qui n’était pas pour me déplaire puisqu’il me plaisait assez ... Comme grand frère, toutefois. Néanmoins, l’histoire de ma race – ainsi que mon propre passé, bizarrement – me prouvait le contraire, puisque je me retrouvais à la tête des traqueurs alors que ma mère était un chat réprouvé des siens. Tout comme ma sœur. Ah, pauvre Amy, qui déteste jouer double jeu et qui fait ça incessamment pour sauver sa peau poilue de félin tout mignon. En parlant de chat ... Je plissai légèrement les yeux, regardant la petite princesse rousse aux yeux noisette, qui cherchait quelque chose autour d’elle. J’avais eu une impression bizarre au moment où elle m’avait touchée. Une impression légère de prendre le courant, en fait, qui ne signifiait qu’une chose. Elle était un chat. Un ennemi ? Non, quand même pas. La petite parla sans m’avoir donné son nom. On lui avait volé son livre. Son livre ?

    « Tu lis, à ton âge ? C’est fantastique de voir à quel point les jeunes s’éveillent de plus en plus tôt. C’est quoi, ce livre ? »

    Une chose est sûre, je ne m’attendais pas à ce que la petite me réponde qu’elle lisait du Baudelaire, pensant que c’était un peu trop ardu pour une enfant de quatre ans. Quoique, à quatre ans, je lisais bien du Werber, alors pourquoi ne pourrait-elle pas lire du Baudelaire ? Je reposai mon attention sur la petite, oubliant ses lectures. L’avait-elle deviné, au moment où je venais l’aider, que j’étais une traqueuse, et que je pouvais la tuer très rapidement, ce que je ne ferais pas, de toute manière, parce que tuer quelqu’un sous prétexte qu’il est un chat ne me tente guère ? Ou me voyait-elle comme une humaine parmi tant d’autres, qui avait pour seul bon point d’être venue l’aider ? En tous les cas, je sentais mon instinct canin qui se réveillait bien malgré moi, et que j’allais contrôler à la perfection, comme d’habitude. Vous me direz, vivre perpétuellement avec ma jumelle, un chat, m’aidait à contrôler les pulsions canines qui me poussaient à mordre et déchiqueter tous les chats que je croisais.

    Pourtant elle avait l’air bien sympathique, cette petite personne qui regardait le monde ses yeux d’enfant éveillée pour son âge tendre. Et cette petite princesse, dont je ne connaissais pas le nom, serait un chat ? Pauvre enfant qui, dès son plus jeune âge, était plongé dans la tourmente d’une guerre aussi séculaire qu’inutile. Pourquoi les traqueurs et les chats se battaient-ils ? Pourquoi les chats se battaient-ils entre eux, aussi ? Cette petite devait certainement faire partie de la secte, à moins qu’elle n’ait trouvé un bon protecteur chez les bannis, quelqu’un qui pourra la tenir en vie le plus longtemps possible. Comme moi pour ma sœur. Mais ne possédant pas le flair des chats, je ne pouvais savoir si elle était de la secte ou des solitaires bannis. Mon flair à moi me disait juste qu’elle n’était ni un renard, ni un loup, mais plutôt un petit chaton sans défense perdu dans un monde hostile. Je ne savais trop que lui dire, n’ayant pas spécialement envie de me faire éventrer très facilement par une jeune enfant dotée d’une remarquable intelligence. A moins qu’elle n’ait déjà compris que je suis un loup, ce qui, d’un autre côté, ne m’étonnerait qu’à peine. Oh, juste un peu, histoire de garder le bénéfice du doute. Je n’allais tout de même pas lui jouer la comédie, comme je le faisais si bien devant les caméras. Autant jouer franc jeu. Et en fait, j’étais peut-être en train de l’embêter ... Aïe la boulette.
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Les crétins des bacs à sable. [Patou] _
MessageSujet: Re: Les crétins des bacs à sable. [Patou]   Les crétins des bacs à sable. [Patou] 161111Mer 14 Oct - 21:38

    Elle avait frôlé une seconde l’inconnue, à peine touchée elle avait ressenti un frisson. Elle n’avait jamais fréquenté de loup ou de renard, elle en avait croisé un ou deux peut-être, mais ce fut sûrement sans contact car elle n’en avait aucun souvenir. Mais Alice était suffisamment intelligente pour comprendre ce qui se passait. Elle était face à une jeune femme, certes ennemie, mais dont elle n’avait pas peur et dont elle était sûre qu’elle ne lui sauterait pas à la gorge, chose qu’elle aurait déjà fait sinon.
    Alice était intriguée par cette personne sans comprendre vraiment pourquoi. Peut-être la chance lui était-elle donnée de fréquenter des personnes autre que celle de la Secte ?
    Autre qu’une bibliothécaire et le gardien du conservatoire ? Une chance de s’ouvrir sur un monde qu’elle ne connaissait pas. Et la gamine n’était pas du genre à dire non à une aubaine comme celle-ci. La curiosité passait avant la peur. Et de toute manière, la peur passait après tout.
    Shayn lui avait tout expliqué, d’un point de vue félin. Maintenant Alice voulait le point de vue canin. Mais ce qu’elle voulait surtout, c’était comprendre le but de cette guerre. Ou tout du moins savoir, pas sûr qu'elle en comprendrait les raisons : les guerres étaient toujours inutiles. Il n’y a jamais de gagnant ou de perdant, il y surtout des morts qui n’ont rien demandé. Et il y a surtout des gens qui tuent. Et aux yeux de loi, on dit assassin, meurtrier, ce genre de qualificatif. La guerre donne droit à tous les crimes, mais au nom de quoi ? De qui ? D’une patrie, d’une nation, d’un clan, d’un chef ou d’un général ? Sommes-nous tous des moutons incapable de penser et de réagir ? Incapable de dire non devant l’horreur et l’atrocité ? Quel monde horrible.
    Lyra lui avait posé une question. Peut-être qu’elle attendait une réponse. Pas bête.

    « Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire. Ils savent à peine lire, c’est souiller le livre que de le laisser entre leurs mains. »

    A elle de poser une question. La poserait-zelle ?
    Peut-être, peut-être pas. Elle n’avait rien à perdre, tout à gagner. Mais elle n’aimait pas poser des questions, surtout aux inconnus ennemis.
    Et puis tant pis, il faut bien se jeter à l’eau parfois.

    « Loup ou renard ? »

    Enigme pour un humain, pas pour la jeune femme. Lyra avait sûrement compris qui était Alice…


    Edit >> Je viens de me relire, c'est d'une nullité absolue. Désolé, je me rattraperai sur le prochain.

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Les crétins des bacs à sable. [Patou] _
MessageSujet: Re: Les crétins des bacs à sable. [Patou]   Les crétins des bacs à sable. [Patou] 161111

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