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 Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ]

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Albus J. Sleeman
« Albus J. Sleeman »
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Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ] _
MessageSujet: Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ]   Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ] 161111Jeu 11 Mar - 23:14

    Il y avait, comme d’habitude, un monde fou en ville. En période de soldes, à quoi s’attendre, de toute manière ? Les gens pressaient et se poussaient, cherchant à dégoter telle ou telle bonne affaire. Et au milieu de la foule, une personne à l’air agressif faisait s’écarter les gens. Et derrière elle une autre femme, d’un air plus discret, suivait dans son sillage. Eh bien franchement, la première a l’air menaçant, Amy Raven, n’était pas la plus dangereuse des deux. Comment je le sais ?
    Eh bien, c’est moi la seconde.
    Lyra Raven. Une jolie petite top-modèle a l’air gentil et pas vraiment dangereuse, comme brin de femme. Ne pas se fier aux apparences. Sous mon air de petite fille bien sage se cache une louve des plus sanguinaires, incontrôlable, sadique, et folle. Mais également agoraphobe, claustrophobe au plus haut niveau. En plus de cela je déteste que l’on me touche, et mes crises ne sont pas faites d’angoisse mais de coups. Et mes quatre Dan d’aïkido aident généralement à me prendre au sérieux.
    Et là, avec le monde qu’il y avait en ville, ce n’était pas gagné.

      « Ils arrêtent de se coller à moi ou je les bouffe les uns après les autres. »

    Pas une parole. Un grognement. Les gens se poussaient, me poussaient, leurs mains touchaient ma peau, et à chaque fois je sursautai. Non pas de peur, ni même de dégoût, mais d’autre chose. Quoi, bonne question. Raison pour laquelle je finis par péter un plomb, et sans prendre de pincettes, je traversai la foule en les poussant moi-même, sans même regarder si ma sœur me suivait. Qui avait eu l’excellente idée de sortir en ville un jour de soldes ? Moi. Pensant que la ruée serait terminée. Ah, je me fourrais le doigt dans l’œil jusqu’au cerveau !
    En quelques enjambées, après avoir poussé plein de gens d’ailleurs un peu intimidés face à l’apparence cloutée de ma sœur jumelle, nous nous rendîmes devant Arsenic et je stoppai devant. L’enseigne violette clamant à cor et à cri le nom du magasin était aussi criante que dans mon souvenir. J’essayai d’entrer mais quelqu’un sortit à ce moment-là, et me rentra dedans. Un espèce de gros malabar plein de muscles, qui se leurra sur ma taille fluette et gracile, faisant abstraction d’Amy qui arrivait derrière.

      « Eh là, tu pourrais t’excuser ! »
      « C’est bien la meilleure. Où sont passées les règles élémentaires de la courtoisie ? Et la galanterie ? »
      « Tu sais ce que je lui fais, à la galanterie ? »
      « Apprends-lui à se brosser les dents et montre-lui l’exemple, tu infectes ! »

    D’un mouvement rapide, l’homme m’attrapa et me colla contre un mur. Ses mains collées aux miennes. Sa peau contre la mienne. Contact. Et je hais le contact. Mes yeux s’étrécirent et je plantai mon regard dans le sien, ce qui ne l’intimida pas. Et tout autour de nous, les gens s'écartaient prudemment. Amy s'approchait avec rapidité. Elle avait du entrer dans le magasin et en sortir en ne me voyant pas derrière elle. Et là, me voyant en difficulté, elle revenait casser la figure de l'autre affreux ... Qui ouvrit d'ailleurs la bouche pour me cracher à la face ses paroles puantes.

      « Tes excuses. »
      « Crève, humain stupide. »

    Il grogna, je ne bronchai pas. Je vis dans ses yeux qu'il allait m'en coller une sous peu pour me forcer à m'excuser, mais surtout, je vis derrière l’homme, en un mouvement très flou, Amy bouger. Ah. Ca allait saigner pour lui.
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Shawn E. Marshall
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Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ] _
MessageSujet: Re: Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ]   Journée ... Shopping ? [ Moceuh-chou. ] 161111Ven 12 Mar - 20:04

    En ville. Lyra avait mis un pied en ville, pendant la période des soldes. Mais notons ça sur tous les calendriers, mon dieu ! Je fendais la foule sans trop de problème, vu que la plupart des gens fuyaient en apprenant qu'une furie couverte de clous, de chaines et de badges - moi, quoi - fonçait vers eux. J'avais juste à jeter un coup d'oeil derrière elle de temps à autre pour vérifier que personne ne touchait le petit scarabée qui me servait de frangine et la vie était belle au pays des bisounours.
    Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier alu, peut-être !?
    Lyra avait d'abord ralenti, blémissant à vue d'oeil. Puis elle avait commencé à .. s'énerver, comme qui dirait. Elle avait relevé son joli minois, accéléré le pas et m'avait doublé, tout bêtement, commençant à bousculer les gens sans aucun état d'âme. C'est bien, Padapanda, rebelles toi quand il en est encore temps ! Ne laisse pas la foule t'opprimer plus longtemps, cries et part à l'assaut de la forteresse, à savoir Arsenic. Vite fait, je la suivit, offrant un grand sourire ironique à toutes les innocentes victimes de ma frangine. Bande d'affreux boulets, va. Ma soeur s'arrêta devant la vitrine du magasin, sûrement pour regarder. Elle me rejoindrait d'ici quelques minutes, je la connaissais et la savais incapable de résister à l'attraction du magasin. Peuh, tant pis, si tu crois que je vais t'attendre, gros toutou, tu te fiche le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Vite, je rentrais dans la boutique, me jetant avant un cri de bonheur sur le présentoir de tours de poignet. Mon regard tomba immédiatement sur un sublîîîme bracelet noir, à piques, chaînes et têtes de mort. Il était en réduction, en plus ! Sans attendre ma frangine, je m'empressai de le choper, le payant rapidement vu qu'il y avait peu de queue. Je le mis, jubilant de ma bonne affaire.

    Je ressortait dehors lorsque je vis un machin-chose indéterminé bousculer Lyra. Tu touches à ma soeur, bâtard !? Mon sang ne fit qu'un tour et j'arrivais rapidement, tous les sens alertes. L'homme - car c'en était un ! - venait de plaquer ma frangine contre le mur, et s'apprêtait à lui foutre une beigne. Son bras se leva, sa main se ferma, puis partit en arrière pour prendre de l'élan et .. Et je la chopais pour faire une clé de bras sauvage au méchant monsieur. Il hurla et fit volte face, lâchant Lyra pour me faire face. Oh merde, il fait trente centimètres de plus que moi. Non, vraiment, tu me fais peur, gros malabar plein de muscles tous mous. Un rapied coup d'oeil aux bras de l'homme me fit réviser ce jugement. Oui, bon, non. Gros malabar plein de muscles qui m'a tout l'air d'une brute épaisse serait plus juste. Mais tu crois que tu m'effraies, bâtard !? J'ai affronté des clébards en rage, moi ! Ni une ni deux, je me jetais sur lui et lui assénait un grand coup dans le torse, du tranchant de la main. Et, au cas où cela ne suffisait pas, ce dont je ne doutais pas, les piques de mon nouveau bracelet percèrent le tee-shirt du gros machin-chose pour laisser des éraflures sanglantes dans sa peau, du moins, le devinais-je. Il n'eut pas l'air ravi de ce contact, vu qu'il me ficha une beigne monumentale qui m'arracha un cri de rage. Pas de douleur, connard, de rage ! Il me prit le bras et me le retourna sauvagement. Mais ça fait mal, bâtard ! Enervée, je le chopais par les avant-bras, me collais contre lui et .. Oh non, c'est trop méchant. Et, de toutes mes forces, je lui foutais un grand coup de genou dans ses fragiles parties génitales. Il se figea brusquement, son visage se décomposa, puis ses mains tremblèrent. Je le lâchais, reculant avec un petit sourire moqueur. Et comme si son humiliation n'était pas suffisante, je lâchais :


      « Dis donc, gros tas, t'es grand, mais t'as pas de couilles. C'est tout mou, là où j'ai cogné .. »

    Et d'un gros jeu de mots foireux, vu que, dans le jargon courant, ne pas avoir de couille signifie être un trouillard.

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